Paraboles et catastrophes : Différence entre versions

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* ... la science a renoncé dans une large mesure à une vision interdisciplinaire ... (p. 15)
 
* ... la science a renoncé dans une large mesure à une vision interdisciplinaire ... (p. 15)
  
* ... il y a eu plus de savants après 1950 que pendant toute la période historique antérieure ... Un développement énorme qui toutefois n'a produit que des résultats très disproportionnés avec l'effort engagé ! (p. 15)
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* ... il y a eu plus de savants après 1950 que pendant toute la période historique antérieure ... Un développement énorme qui toutefois n'a produit que des résultats très disproportionnés avec l'effort engagé ! (p. 15) + réflexions analogues p. 48 et p. 50
  
 
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Version du 11 février 2017 à 19:54

De René Thom (1983)



Introduction

  • Entre la science et le pouvoir s'est établie une sorte de symbiose que l'on pouvait difficilement éviter ... (p. 14)
  • ... la science a renoncé dans une large mesure à une vision interdisciplinaire ... (p. 15)
  • ... il y a eu plus de savants après 1950 que pendant toute la période historique antérieure ... Un développement énorme qui toutefois n'a produit que des résultats très disproportionnés avec l'effort engagé ! (p. 15) + réflexions analogues p. 48 et p. 50


Chapitre premier

  • il a été aberrant de prétendre que les mathématiques pouvaient se fonder toutes seules ; (p. 26)
  • malheureusement ils (les physiciens) prétendent tirer un résultat numérique rigoureux à partir de théories qui, conceptuellement, n'ont ni queue ni tête. (p. 33)
  • le temps reste, malgré tout, quelque chose de fondamentalement irréversible. (p. 36)
  • des notions telles que celle de valence, de liaison chimique, etc., m'ont toujours semblé très peu claires du point de vue conceptuel. (p. 40)
  • on ne peut raisonnablement pas espérer comprendre la morphologie du vivant avant d'avoir bien compris celle des milieux inanimés. (p. 41)
  • En réalité, si on regarde de près la démonstration du second principe de la thermodynamique, il n'y a absolument rien qui permette d'affirmer que la variation de l'entropie soit nécessairement liée à une évolution vers un état chaotique. (p. 41)
  • la pensée biologique contemporaine est encore, je crois, trop fascinée par la molécule et n'a pas suffisamment conscience des contraintes globales qui agissent dans le métabolisme. (p. 44)
  • toute la biologie contemporaine est dominée par l'expérience. (P. 46)
  • les biologistes contemporains estiment qu'ils n'ont absolument pas besoin de théories. (p. 46)



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