Discussion:PLU Entrepierres Remarques/Réunion Vilhosc20120614 : Différence entre versions

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Un PLU n'est pas (une espèce de Yalta, de) la répartition (de gâteau) de plus values potentielles (, de ce qui peut ou doit être vendable par) réparties entre les uns ou les autres.
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C'est un projet politique de développement durable d'une commune qui se traduit par une organisation du territoire de la commune pour atteindre les objectifs du plan d'aménagement et de développement durable (PADD). Le PLU n'a pas à favoriser, ni d'ailleurs à défavoriser, tels ou tels propriétaires de tels ou tels terrains qui veulent vendre ou pas vendre. Ce n'est (absolument) pas l'objet d'un PLU même si les choix faits ont des conséquences sur la valeur des terrains selon qu'ils ont vocation ou non à être urbanisés.
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Un PLU impacte évidemment des (personnes) propriétaires privées ou publics, mais il s'agit des effets du zonage choisi par les élus, qui (viennent après le) sont une conséquence du zonage choisi pour rendre possible le projet d'intérêt général.
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(Un PLU n'est pas une sorte de commissaire-priseur (ou pierre philosophale) qui distribue/répartit les ventes de terrains d'une commune.)
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Un PLU est normalement là pour tenter d'organiser un tant soit peu l'urbanisme d'une commune.
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La préoccupation (normale) d'un PLU c'est de planifier (anticiper/prévoir/organiser) l'urbanisme (voirie, réseaux, etc) d'une commune, en tenant évidemment compte des contraintes sociales, humaines et géophysiques (, et rien d'autre).
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Il revient bien sûr aux élus et aux consultants d'essayer de concilier dans la mesure du possible l'urbanisation prévue avec les préoccupations privées ... mais les préoccupations privées ne doivent pas passer au 1° plan. Sinon, (à quoi sert) il ne servirait à rien de faire un PLU (! On passe tous les terrains en constructible, selon toutes les) et il suffirait de répondre aux demandes individuelles (, et basta).

Version actuelle datée du 16 juin 2012 à 11:25

svp complétez ce que j'ai pu oublier --Vincent du 04 15 juin 2012 à 11:20 (CEST)

stockage vieille version d'un paragraphe

Un PLU n'est pas (une espèce de Yalta, de) la répartition (de gâteau) de plus values potentielles (, de ce qui peut ou doit être vendable par) réparties entre les uns ou les autres. C'est un projet politique de développement durable d'une commune qui se traduit par une organisation du territoire de la commune pour atteindre les objectifs du plan d'aménagement et de développement durable (PADD). Le PLU n'a pas à favoriser, ni d'ailleurs à défavoriser, tels ou tels propriétaires de tels ou tels terrains qui veulent vendre ou pas vendre. Ce n'est (absolument) pas l'objet d'un PLU même si les choix faits ont des conséquences sur la valeur des terrains selon qu'ils ont vocation ou non à être urbanisés.

Un PLU impacte évidemment des (personnes) propriétaires privées ou publics, mais il s'agit des effets du zonage choisi par les élus, qui (viennent après le) sont une conséquence du zonage choisi pour rendre possible le projet d'intérêt général. (Un PLU n'est pas une sorte de commissaire-priseur (ou pierre philosophale) qui distribue/répartit les ventes de terrains d'une commune.)

Un PLU est normalement là pour tenter d'organiser un tant soit peu l'urbanisme d'une commune.

La préoccupation (normale) d'un PLU c'est de planifier (anticiper/prévoir/organiser) l'urbanisme (voirie, réseaux, etc) d'une commune, en tenant évidemment compte des contraintes sociales, humaines et géophysiques (, et rien d'autre).

Il revient bien sûr aux élus et aux consultants d'essayer de concilier dans la mesure du possible l'urbanisation prévue avec les préoccupations privées ... mais les préoccupations privées ne doivent pas passer au 1° plan. Sinon, (à quoi sert) il ne servirait à rien de faire un PLU (! On passe tous les terrains en constructible, selon toutes les) et il suffirait de répondre aux demandes individuelles (, et basta).