LeJardinierEtLePalan : Différence entre versions
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| + | Mode d'emploi : on dénude la mauvaise herbe à son extrémité et on la fait passer dans le tube en caoutchouc, | ||
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| + | On laisse une des extrémités du tuyau d'acier en appui sur le sol, et on soulève à 2 mains l'autre extrémité | ||
| + | ... effet garanti, où ça casse où ça sort.<br> | ||
| + | (le petit tuyau en caoutchouc permet de faciliter le passage de la tige et surtout d'éviter de la couper lors de la traction | ||
| + | (ce qui serait le cas avec un angle trop vif)). | ||
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Version actuelle datée du 16 avril 2012 à 07:17
L'inventeur du palan aurait-il été jardinier ?
Qui n'a pas essayé d'arracher une mauvaise herbe récalcitrante à main nue (eg un genêt),
et s'est presque cisaillé la paume de la main au premier essai ?
Le réflexe "naturel" aux tentatives suivantes est d'enrouler autant qu'on peut de la tige principale
autour de la main, histoire de remplacer une seule tige fine par plusieurs enroulements
et en augmentant ainsi la surface de contact de réduire la pression sur la paume de la main.
... à la fois tout bête ... et finalement pas mal ressemblant au schéma théorique du palan.
D'où une idée d'instrument d'arrachage de mauvaises herbes difficiles :
un tube en acier, costaud, d'environ 80 cm de long et de 2 cm de diamètre,
percé au 2/3 d'un trou d'environ 1 cm de diamètre dans lequel on fait passer un petit tube souple
(caoutchouc ou autre).
Mode d'emploi : on dénude la mauvaise herbe à son extrémité et on la fait passer dans le tube en caoutchouc,
puis on enroule autant que possible.
On laisse une des extrémités du tuyau d'acier en appui sur le sol, et on soulève à 2 mains l'autre extrémité
... effet garanti, où ça casse où ça sort.
(le petit tuyau en caoutchouc permet de faciliter le passage de la tige et surtout d'éviter de la couper lors de la traction
(ce qui serait le cas avec un angle trop vif)).
